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Ancre 1

Atelier 5 : "Guérir notre histoire de manque et de privation" 

Les cinq ateliers dans cette série "Notre histoire de guérison"

1. Le grand tableau (sur YouTube)

2. Trois drames et trois espoirs (sur YouTube)

3. Guérir notre histoire d'exclusion et de particularité 

4. Guérir notre histoire de souffrance et de culpabilité 

5. Guérir notre histoire de manque et de privation (sur cette page)

 

 

Demande de soutien 

Sur cette page, vous pouvez visionner le cinquième atelier dans notre série "Notre histoire de guérison". Nous offrons ces série d'ateliers sur la base d'une contribution libre car nous souhaitons que ce travail soit le plus accessible possible. C'est grâce à vos contributions que nous pourrons continuer cet enseignement et vous fournir des ressources encore nombreuses et variées.  Cliquer ici pour offrir une contribution à ce travail. 

Nous vous remercions,

Bernard et Patricia

Extraits d'"Un cours en miracles" Séance du 19 juillet, 2020

 

« Les ténèbres sont un manque de lumière comme le péché est un manque d'amour. Elles n'ont pas de propriétés uniques. C'est un exemple de la croyance dans le " manque ", d'où seule l'erreur peut procéder. » (T-1.IV.3:1-7)

 

Ceux qui perçoivent et reconnaissent qu'ils ont tout n'ont aucune sorte de besoin.

Comme à chacun, tout t'a été donné quand tu as été créé.   (T-1.IV.3) (T-1.IV.3:1-7)

« Le but du curriculum, quel que soit l'enseignant que tu choisis, est « Connais-toi toi-même. » Il n'y a rien d'autre à rechercher. Chacun est à la recherche de soi-même ainsi que de la puissance et de la gloire qu'il pense avoir perdues. »   (T-8.III.5:1-12)

 

« Alors que le manque n'existe pas dans la création de Dieu, il est très apparent dans ce que tu as fait. De fait, c'est la différence essentielle entre les deux. Le manque implique que tu te trouverais mieux dans un état en quelque sorte différent de celui dans lequel tu es. Jusqu'à la " séparation ", qui est la signification de la " chute ", rien ne manquait. Il n'y avait pas du tout de besoins. Les besoins ne surgissent que lorsque tu te prives toi-même. Tu agis conformément à l'ordre particulier de besoins que tu établis. Cela, en retour, dépend de ta perception de ce que tu es. »   (T-1.VI.1:1-10)

 

« L'abstraction complète est la condition naturelle de l'esprit. Mais une partie de celui-ci n'est pas naturelle maintenant. » (W-pI.161.2:1-6)

 

« Le concept de soi embrasse tout ce que tu regardes, et rien n'est en-dehors de cette perception. Si tu peux être blessé par quoi que ce soit, tu vois une image de tes souhaits secrets. Rien de plus. »   (T-31.V.15:1-10)

 

 « Le sentiment d'être séparé de Dieu est le seul manque que tu aies réellement besoin de corriger. Ce sentiment de séparation n'aurait jamais surgi si tu n'avais pas distordu ta perception de la vérité, percevant ainsi un manque en toi. Si l'idée d'un ordre de besoins a surgi, c'est parce que, ayant fait cette erreur fondamentale, tu t'étais déjà fragmenté en niveaux avec des besoins différents. En t'intégrant toi-même, tu deviens un ; en conséquence, tes besoins deviennent un. Des besoins unifiés conduisent à une action unifiée, parce que cela produit un manque de conflit. »   (T-1.VI.2:1-5)

 

« Tu n'as pas seulement été pleinement créé mais tu as aussi été créé parfait. Il n'y a aucun vide en toi. À cause de ta ressemblance avec ton Créateur, tu es créateur. Aucun enfant de Dieu ne peut perdre cette aptitude parce qu'elle est inhérente à ce qu'il est, mais il peut en user de manière inappropriée en projetant. Il y a projection, ou usage inapproprié de l'extension, lorsque tu crois qu'il existe en toi un vide ou un manque et que tu peux le combler avec tes propres idées au lieu de la vérité. » (T-2.I.1:1-12)

 

 « L'idée d'aujourd'hui te décrit exactement tel que Dieu t'a créé. Tu es un en toi-même et un avec Lui. Ton unité est celle de toute la création. Ta parfaite unité rend le changement en toi impossible. Tu n'acceptes pas cela et tu ne te rends pas compte qu'il doit en être ainsi parce que tu crois que tu t'es déjà changé. »   (W-pI.95.1:1-5)

  

«  Rien ne sert de se lamenter sur le monde. Il est inutile d'essayer de changer le monde. Il est incapable de changer parce qu'il est simplement un effet. Mais il est certes utile de changer tes pensées au sujet du monde. »   (W-pI.23.2:1-7)

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